Friday, April 22, 2011

Les Immigrées dans les Films Français


Ou est les immigrées dans le cinéma français? Prenez les trois films qu'on a étudié ce semestre. Dans 400 Coups ils sont complètement absent, bien que il y avais beaucoup des beurs en Paris dans les années 50. Deuxièmement, dans La Haine, un film sur les banlieues et les immigrées, les trois protagonistes sont juif, beur, et sub-saharienne. En Amelie, le patron de magasin, le seul immigrée dans le film, est magrebienne.
Tout le monde savent que la réalité est complètement diffèrent, donc pour quoi les cinéastes français ne peuvent pas l'accepter? Je pense qu'il y a sentiment sous-jacent embarrassent, étroitement lié a l’ascension de la Droite. En Amelie, Jeunet cadre le Paris « parfaite » chez le peuple francais: romantique, ensoleillée, et sans immigrées.

Société Du Look



En 1989 Raphael Bassan écrivait dans La Revue de Cinéma d'un nouveau genre de film: le cinéma « du look ». Clairement désobligeant, les remarques de Bassan convergeaient sur les films de trois cinéastes: Jean-Jacques Beineix, Luc Besson et Leos Carax. Bassan les accusait d'avoir conformés avec les directeurs d'Hollywood: sans direction sociale ni politique, plus intéressés par le spectacle visuelle que l'art du cinéma.

Mais est-ce que la société française entière est hollywoodisée? Prenez la controverse de Sarkozy et sa vie privée. Un président français n'as jamais être l'objet de l'attention des médias populaires.

La centralisation du cinéma français

L'action des trois films français qu'on a étudiés ce semestre se déroule a Paris, une des villes les plus filmées du monde. Les représentations, pourtant, sont très différents: 400 Coups (Truffaut) cadre la Paris vivant, mais souvent cruelle, La Haine (Kassovitz) montre un Paris discriminatoire et violent, et Amelie (Jeunet) crée un Paris mythique, comme une publicité.

Les Françaises sont particulièrement attachés a leur capitale. Prenez, par exemple, la carte des trains: chaque ligne converge sur Paris. De plus, la politique est fortement centralisée sur Paris. Clairement, la cinéma est centralisée aussi.

A mon avis c'est un dommage. Paris est beau, mais les autres villes françaises, particulièrement les petites villes a la campagne, sont également (et souvent, plus) belles. La centralisation de cinéma français: pour célébrer la Paris ou pour plaisir les français?


Wednesday, April 13, 2011

Le Narrateur en Amelie



Le narrateur dans le film Le Fabuleux Destin d'Amelie Poulain joue un rôle important en développer les personnages principaux, mais également les personnages périphériques. Le narrateur est absent dans le film (il n'est pas personnage) donc le narrateur est « hétérodiégétique ». Un narrateur hétérodiégétique est utilisé pour créer un contexte. En Amelie, le contexte est basé sur les traites personnelles des personnages, et les origines de ces traites. De plus, les rencontres entre les personnages, et les résultats de ces rencontres, sont expliquées par les expériences passes des personnages.


En créer un contexte compliquée le narrateur est utilisé pour attirer l'audience dans le monde du film. De plus, les personnages touchent l'audience plus effectivement.


D'une façon, le narrateur représente Amelie elle-même comme une force extérieure. Elle a certaines connaissances des autres personnages et elle existe dehors leurs mondes respectives, eg. M. Brodeteau.

Tuesday, April 12, 2011

Les Mistons (Francois Truffaut, 1958)

Les Mistons, un court métrage réalisé par Francois Truffaut un ans avant 400 Coups, est un film simple mais profond. Influencé par les idées de la Nouvelle Vague, ce film me semble comme un expérience. Certaines thèmes et méthodes utilisées par Truffaut resurgissent en 400 Coups, bien sur la thème principale, l'enfance, est le même dans les deux.
Antoine Doinel, le protagoniste de 400 Coups, est un garçon méchant, un sale gosse, mais malgré tout. Les Mistons sont exactement le même. Malgré leurs petits infractions, ils sont simplement un groupe des petits garçons.
Les conséquences des actions d'Antoine et les Mistons sont similaires aussi: la punition surpasse la crime. En 400 Coups, Antoine est incarcéré dans une maison de correction et dans Les Mistons le sentiment de culpabilité des garçons est exagérée par la mort du fiance de Bernadette.
En plus, la panoramique, utilisée par Truffaut quand Antoine court sur la plage est utilisée aussi pour montre Bernadette sur son vélo.

Wednesday, April 6, 2011

La Haine: Les Personnages

Est-ce que l’amitié entre les trois protagonistes est réel? La diversité ethnique, religieuse entre les trois me semble trop idéaliste mais Kassovitz utilise les trois personnages admirablement pour représenter les groupes raciales marginalisées. Malgré ce fait, en utiliser les trois races, Kassovitz montre la population diverse, et mixte, des banlieues, mais est-ce que c'est réaliste? Est-ce qu'il y a une grande population juif dans les banlieues?
Kassovitz, pendant la création de La Haine, était possède par la réalisme; l'utilisation de noir/blanc comme une camera de surveillance, les petites conversations monotones, les scènes réels de les informations, et ainsi de suite. Les personnages, en revanche, a mon avis, abaissent la réalisme de la film.
Bien sur, les personnages centrales sont très bien développés. La voyage émotionnelle de Vinz et sa réalisation de la futilité de la violence est très bien construit, par exemple. Le problème, a mon avis, c'est le conflit entre les méthodes artistique et littéraire (comme l'exemple), et la réalisme.
On peut dire également que les deux vont très bien ensemble (comme je présume Kassovitz prévu), mais je ne suis pas d'accord; pour moi le contraste entre réalité et fiction est trop prononcé.

Tuesday, March 15, 2011

"La Haine" et "Do The Right Thing": Est-ce qu'ils sont le même chose?

La Haine (1995), de Mathieu Kassovitz, est une chronologie d'un cas de violence racial de son début dans les menaces verbales et les histoires exagérées a l’éruption irréversible. Également, Do The Right Thing (1989), de Spike Lee, raconte l'histoire d'une collision entre les blancs, soutenu par la police, et les noires pauvres.
Les deux films montre l'effet de la violence collective entre deux groupes: la destruction instant des aspect positives et progressives qui ont pris longtemps pour développer. Par exemple,
la gym d'Hubert dans La Haine, durement gagnée par il dans un monde extrêmement difficile qui propice le chômage plus que les efforts entrepreneuriales et sociales. Même, la pizzeria de Sal dans Do The Right Thing. Cette entreprise a fourni beaucoup plus que le travail pour la quartier, elle est un connexion entre le monde des blanches et le monde des noires.
Mais ces petits institutions sociales ne sont pas les victimes plus importantes de la violence. La victime plus importante, c'est la compréhension entre les deux cotes. Par exemple, dans Do The Right Thing, l'interaction amicale entre les noires et les blancs etait particulier a la pizzeria, et dans La Haine, Vinz apres 17 ou 18 années ne faisait que commencer de comprendre la futilité de violence quand il est tué par le policier. Dans les deux cas, l'explosion de violence au fin du film ouvert la port de violence sur une échelle plus grande. Pour montrer cette menace, les deux films finissent en silence, en état de choc, et avec une sens de l'Apocalypse imminente.

Tuesday, March 8, 2011


Un mouvement d'une camera fixée qui montre une espace plus grande que la vue de la camera. Ce mouvement, dans mon exemple (a 0:22 - 0:34) , exagère la taille de la foule des soldats et agir comme un plan-ensemble.


Le Travelling        http://www.youtube.com/watch?v=Ijs1SoOlgho

 Le mouvement de la camera sur une véhicule pour cadre le décor, mais pas en entier. Je pense que cette technique est particulièrement utile pour cadrer certain paysages, comme une rive dans l'exemple.

 
La Camera Portée      http://www.youtube.com/watch?v=FU7bFpPJiww

Beaucoup plus populaire nôtres-jours, la camera portée don du poids a la réalisme d'un scenario. Par exemple, a l'heure qu'il est, je ne sait toujours que c'est video est réel ou pas.


L'insert est un plan court d'un détail dans la scène. Dans l'exemple, il y a un insert des deux couteaux a 1:24. Dans la film, la similarité de l'arme du crime et la couteau de Henry Fonda est un détail important.


Le plan américain, a 1:08 dans l'exemple, cadre l'acteur de la ceinture a la tète. Inventé par les directeurs des Westerns, ce plan est optimum pour saisir l'action du acteur.

Le Gros Plan          http://www.youtube.com/watch?v=c6LdX8pJVeE

Le gros plan cadre un objet important pour concentre l’intérêt du spectateur. Souvent, la camera cadre un visage pour montre une émotion, comme sincérité dans l'exemple (4:00 - 4:45).


Le Plan d'Ensemble      http://www.youtube.com/watch?v=b44paD20O3M

Le plan d'ensemble est un plan très grand, généralement trouver au début du film. Il plante le décor. (0:00 - 0:32 dans l'exemple)


Le plan large cadre le décor pour lancer la scène. Dans l'exemple, Caché (2005, Michael Haneke), le plan large est utilisé expérimentalement comme une camera du surveillance toute le film.


Le Montage des Images     http://www.youtube.com/watch?v=9d0d6qgsvTw

Le montage est un série des plans, utiliser pour suivre un personnage ou , comme dans l'exemple, un objet.

La Contre-Plongée       http://www.youtube.com/watch?v=t8Nf1MK7lts

La contre-plongée est un technique qui utilise une camera incline vers le haut pour montre la supériorité de l'objet et l’infériorité de la personnage a la place de la camera. (2.21 dans l'exemple).

 

 


Thursday, February 24, 2011

400 Coups: La Dernier Scene

La dernier scène, a mon avis, commence quand Antoine échappe la maison de correction. Il court pendant 4 minuits, au cours desquelles la scène change dramatiquement. Au début, la scène est très claustrophobe et ponctué brièvement des trucs comme les panneaux et les maisons.
Après 1min 20sec la scène change. Maintenant, c'est une vue panoramique et désolé de la mer, les collines, et la plage. Les deux scènes sont aux antipodes.
La façon d'agir d'Antoine change significativement aussi au diapason des scènes. Pendant la premier partie entier, sur la route, Antoine regarde fixement a la terre. Il ne regard pas les obstacles ni son environnement.
Peut être, la dernier scène représent la vie d'Antoine jusqu’à maintenant. Il a passé par une enfance difficile et la période d’adolescence, également difficile, et maintenant, il arrive a la mer, et il peut commencer sa vie comme adulte. Cette analyse et soutenu par l'histoire du directeur, Truffaut, duquel la film est semi-autobiographique. La jeunesse, pour il, n'est pas un expérience joyeuse ou innocent, c'est pénible. Comme Antoine, son père biologique était absent, il avait les expériences avec la police, et il s'est enfui chez il quelque fois.
Je ne pense pas que la dernier image est sombre; Antoine n'est pas perdu. Au contraire, cette image est plein d'espoir; le monde est a ses pieds.

Wednesday, February 9, 2011

Persepolis: Introduction




Premièrement, je dois admettre qu'au début j'etait sceptique et un petit peut amusé qu'on va étudier une bande dessiné cette semestre. Jusqu’à présent, je n'ai vu pas que les bandes dessines fantastique ou comique ecirve largement pour les enfants. Je pense que le seul exception, c'est V for Vendetta, de Alan Moore et David Lloyd, qui est sans doute fantastique mais qui est aussi une commentaire sociale. Comme une ouvre littéraire, Persepolis est véritable unique pour diverse raisons. Contrairement aux bandes dessines traditionnelles, Persepolis est une autobiographie de l'auteur, Marjane Satrapi. Il n'est pas comique ni fantastique. En fait, Persepolis représente la réalité, souvent brutale. Comme ça, Persepolis est une ouvre hybride qui utilise les méthodes artistique et littéraire qui ne sont pas normalement combinés.