Thursday, February 24, 2011

400 Coups: La Dernier Scene

La dernier scène, a mon avis, commence quand Antoine échappe la maison de correction. Il court pendant 4 minuits, au cours desquelles la scène change dramatiquement. Au début, la scène est très claustrophobe et ponctué brièvement des trucs comme les panneaux et les maisons.
Après 1min 20sec la scène change. Maintenant, c'est une vue panoramique et désolé de la mer, les collines, et la plage. Les deux scènes sont aux antipodes.
La façon d'agir d'Antoine change significativement aussi au diapason des scènes. Pendant la premier partie entier, sur la route, Antoine regarde fixement a la terre. Il ne regard pas les obstacles ni son environnement.
Peut être, la dernier scène représent la vie d'Antoine jusqu’à maintenant. Il a passé par une enfance difficile et la période d’adolescence, également difficile, et maintenant, il arrive a la mer, et il peut commencer sa vie comme adulte. Cette analyse et soutenu par l'histoire du directeur, Truffaut, duquel la film est semi-autobiographique. La jeunesse, pour il, n'est pas un expérience joyeuse ou innocent, c'est pénible. Comme Antoine, son père biologique était absent, il avait les expériences avec la police, et il s'est enfui chez il quelque fois.
Je ne pense pas que la dernier image est sombre; Antoine n'est pas perdu. Au contraire, cette image est plein d'espoir; le monde est a ses pieds.

Wednesday, February 9, 2011

Persepolis: Introduction




Premièrement, je dois admettre qu'au début j'etait sceptique et un petit peut amusé qu'on va étudier une bande dessiné cette semestre. Jusqu’à présent, je n'ai vu pas que les bandes dessines fantastique ou comique ecirve largement pour les enfants. Je pense que le seul exception, c'est V for Vendetta, de Alan Moore et David Lloyd, qui est sans doute fantastique mais qui est aussi une commentaire sociale. Comme une ouvre littéraire, Persepolis est véritable unique pour diverse raisons. Contrairement aux bandes dessines traditionnelles, Persepolis est une autobiographie de l'auteur, Marjane Satrapi. Il n'est pas comique ni fantastique. En fait, Persepolis représente la réalité, souvent brutale. Comme ça, Persepolis est une ouvre hybride qui utilise les méthodes artistique et littéraire qui ne sont pas normalement combinés.